Si on me conseille d'occulter ma dyslexie dans mon cv, c'est qu'il est probable que les employeurs préfèreaient éviter d'employer un dyslexique. Ces employeurs reconnaitrons peut-être volontier que la dyslexie est un handicap.
Qu'elle est l'avis de ces mêmes employeurs au sujet d'éventuels dons possédés par les dyslexiques? Qu'en savent-ils?
Lorsqu'on nous parle de tous les illustres dyslexiques on essaye de positiver la dsylexie, on finirait presque par croire que c'est un chance.
J'ai donc 3 principales questions pour lesquel j'aimerais avoir une réponse.
Premier problème:
Certains dyslexiques auraient comme certain autistes des dons particuliers que l'on trouve que dans une partie de leur population. Combien sont-ils? Que peut-on faire pour eux? Ont-ils des débouchés?
Deuxième problème:
Si l'on considère les dyslexiques dans leur totalité ont-ils des dons particuliers dans des proportions plus importante que le reste de la population. Quels sont ces dons? Par exemple on parle parfois de perception dans l'espace avec l'exemple de pilotes de chasse dyslexiques. Ces dons sont ils inventoriés, sont-ils detecté systématiquement, sont-ils nouris, sont-ils utilisés?
Troisième problème:
Serait-il possible que certain dyslexiques aient pu développer certaines aptitudes du fait qu'ils sont obligé d'utiliser des méthodes cognitives différentes? Cela aurait plusieurs implications: d'une part des non dyslexiques pourraient acquérir ces aptitudes si on les entraîne d'une certaine façon. D'autre part si l'on trouve un moyen de faciliter la tâche du dyslexique en supprimant la raison physique du trouble alors les dyslexiques perdraient-ils leur capacité spécifiques?
Finallement:
Je pense que cela serait une grande aide pour tout le monde y compris pour les dyslexiques d'avoir de telles réponses.
Cela réduirait peut-être la part de chance dans le destin des dyslexiques.
lundi 28 février 2011
vendredi 25 février 2011
Après la première bourasque.
Je vais essayer de parler un peu plus de mon histoire en tant que dyslexique.
En premier lieu je pense qu'une fois le problème identifié et traité par les orthophonistes,il ne faut pas croire -si les résultats scolaire redeviennent acceptables- que le problème est terminé. Les problèmes subsistent jusqu'au bac et pendant les études supérieures et même la vie professionelle.
La plus grosse erreur que j'ai faite et peut-être aussi que mon entourage a faite c'est d'oublier le handicap (d'ailleur on s'est bien abstenu de ma parler de handicap). Ma mère pensait qu'à partir du momment ou j'avais pu entrer en 2d C et du fait que j'étais un peu plus intelligent que la moyenne alors j'étais sorti de l'ornière.
Cette attitude risque de déboucher sur une position très difficile à gérer psychologiquement avec risque de dépression nerveuse à cause de la pression mise par la famille et les professeurs: "Comment? Avoir des résultats aussi décevant avec une telle intelligence?"
Encore aujourd'hui mon père pense que l'intelligence est suffisante pour réussir. Mois j'ai fini par utiliser cette image d'un magnifique athlete avec une jambe de bois à qui l'on demande de faire un 100 mètres-hai. Il arriveras peut-être au bout s'il est très fort mais surement pas dans les mêmes délais.
Plus tard, ayant abandonné toute ambition scolaire j'ai completement oublié le handicap. Et au leiu de me poser sans cesse la question: Qu'est que je suis capable de bien faire? Je me suis demandé, si oui ou non je pouvais faire ce qu'on m'encourageait à faire, sans pouvoir bien décider puisque j'étais à la fois handicapé et assez intelligent. A deux reprise j'ai essayé de réintégrer une organisation scolaire et à chaque fois cela a été un échec relatif. Je suis très souvent allé à reculons dans les écoles avec un peu la même appréhension que pour rentrer dans un hôpital. C'est pas facile à vivre pour l'enfant d'un couple d'enseignant.
Le plus gros travail à faire maintenant c'est d'accompagner les dyslexiques tout au long de la scolarité en prenant en compte le handicap et de prolonger cet accompagenment pendant la vie professionelle.
Les dyslexiques doivent-ils considérer comme très improbables de pouvoir exercer et former et reconnaitre leur talent pendant la scolarité? Doivent-ils prendre des chemins de traverse?
La même question subsitent pour la vie professionelle.
De toute façon le dyslexique ne doit pas se décourager d'apprendre: il peut essayer en autodidacte (avec tous les inconvénients que cela comporte) ou s'il a de l'argent utiliser un précepteur(connaissant la dyslexie de préférence)
En premier lieu je pense qu'une fois le problème identifié et traité par les orthophonistes,il ne faut pas croire -si les résultats scolaire redeviennent acceptables- que le problème est terminé. Les problèmes subsistent jusqu'au bac et pendant les études supérieures et même la vie professionelle.
La plus grosse erreur que j'ai faite et peut-être aussi que mon entourage a faite c'est d'oublier le handicap (d'ailleur on s'est bien abstenu de ma parler de handicap). Ma mère pensait qu'à partir du momment ou j'avais pu entrer en 2d C et du fait que j'étais un peu plus intelligent que la moyenne alors j'étais sorti de l'ornière.
Cette attitude risque de déboucher sur une position très difficile à gérer psychologiquement avec risque de dépression nerveuse à cause de la pression mise par la famille et les professeurs: "Comment? Avoir des résultats aussi décevant avec une telle intelligence?"
Encore aujourd'hui mon père pense que l'intelligence est suffisante pour réussir. Mois j'ai fini par utiliser cette image d'un magnifique athlete avec une jambe de bois à qui l'on demande de faire un 100 mètres-hai. Il arriveras peut-être au bout s'il est très fort mais surement pas dans les mêmes délais.
Plus tard, ayant abandonné toute ambition scolaire j'ai completement oublié le handicap. Et au leiu de me poser sans cesse la question: Qu'est que je suis capable de bien faire? Je me suis demandé, si oui ou non je pouvais faire ce qu'on m'encourageait à faire, sans pouvoir bien décider puisque j'étais à la fois handicapé et assez intelligent. A deux reprise j'ai essayé de réintégrer une organisation scolaire et à chaque fois cela a été un échec relatif. Je suis très souvent allé à reculons dans les écoles avec un peu la même appréhension que pour rentrer dans un hôpital. C'est pas facile à vivre pour l'enfant d'un couple d'enseignant.
Le plus gros travail à faire maintenant c'est d'accompagner les dyslexiques tout au long de la scolarité en prenant en compte le handicap et de prolonger cet accompagenment pendant la vie professionelle.
Les dyslexiques doivent-ils considérer comme très improbables de pouvoir exercer et former et reconnaitre leur talent pendant la scolarité? Doivent-ils prendre des chemins de traverse?
La même question subsitent pour la vie professionelle.
De toute façon le dyslexique ne doit pas se décourager d'apprendre: il peut essayer en autodidacte (avec tous les inconvénients que cela comporte) ou s'il a de l'argent utiliser un précepteur(connaissant la dyslexie de préférence)
mardi 22 février 2011
Einstein handicapé?
Aujourd'hui j'ai croisé le regard lourd de reproche d'une personne.
Ce n'est pas la première fois qu'un tel évenement arrive. J'ai cru etendre "Einstein n'était pas handicapé, je vais vous faire fermer".
Soyons ouvert et supposons que cela est vrai:
Donc Einstein n'était pas handicapé. Dans ce cas cela serait un soulagement pour moi. Je repense à toutes les heures de travail que j'ai effectuées et les notes que j'ai obtenues (4/20, 6/20). Et j'y trouverai enfin une explication. Einstein lui aurait réussit parcequ'il n'était pas handicapé et bien sur parce que plus intelligent et travailleur que moi.
Restons ouvert et supposons que Einstein avait un handicap:
Dans ce cas cela ne ferait qu'augmenter son mérite: Avoir une réussite aussi éblouissante dans un domaine qui est en général reservé aux personnes ayant les meilleurs dons pour les études scolaires. J'irais même jusqu'à oser imaginer qu' Einstein n'aurait pas réussit aussi brillament sans avoir eu l'arrogance -en dépit de difficultés de tous ordres y compris mentales- de se mesurer aux plus grands et de vouloir les dépasser.
De plus j'ai lu et je vais rechercher la source ou Einstein déclare lui même qu'il ne se considérait pas doué pour les études.
Il faut que les gens comprennent que ce blog n'est pas dédié à la critique de la culture juive. Mais que l'apparition d'Einstein n'est que circonstentielle parceque c'est son exemple qui a été le plus souvent utilisé avec les enfants dyslexiques pour les encourager.
Ce n'est pas la première fois qu'un tel évenement arrive. J'ai cru etendre "Einstein n'était pas handicapé, je vais vous faire fermer".
Soyons ouvert et supposons que cela est vrai:
Donc Einstein n'était pas handicapé. Dans ce cas cela serait un soulagement pour moi. Je repense à toutes les heures de travail que j'ai effectuées et les notes que j'ai obtenues (4/20, 6/20). Et j'y trouverai enfin une explication. Einstein lui aurait réussit parcequ'il n'était pas handicapé et bien sur parce que plus intelligent et travailleur que moi.
Restons ouvert et supposons que Einstein avait un handicap:
Dans ce cas cela ne ferait qu'augmenter son mérite: Avoir une réussite aussi éblouissante dans un domaine qui est en général reservé aux personnes ayant les meilleurs dons pour les études scolaires. J'irais même jusqu'à oser imaginer qu' Einstein n'aurait pas réussit aussi brillament sans avoir eu l'arrogance -en dépit de difficultés de tous ordres y compris mentales- de se mesurer aux plus grands et de vouloir les dépasser.
De plus j'ai lu et je vais rechercher la source ou Einstein déclare lui même qu'il ne se considérait pas doué pour les études.
Il faut que les gens comprennent que ce blog n'est pas dédié à la critique de la culture juive. Mais que l'apparition d'Einstein n'est que circonstentielle parceque c'est son exemple qui a été le plus souvent utilisé avec les enfants dyslexiques pour les encourager.
Debouchés pour les dyslexiques.
Déterminer les métiers ou les taches dans les métiers dans lequels l'utilisation des dyslexiques a le plus de chance d'être bénéfique.
Determiner aussi des aménagements ou des organisations spécifiques du travail pour chaque type de métiers incluant le travail intellectuel.
Trouver des plans de carrières qui soit adaptés aux dyslexiques.
Pour cela il faudrait peut-être observer les dyslexiques qui ont réussis et les difficultés des autre au sein de l'entreprise comme à l'école et cela selon le type de dyslexie.
Des statistiques pourraient-elles être réalisées pour essayer de découvrir des solutions? Si elle éxistent déjà, sont-elles disponibles au public?
Si les dyslexiques ne peuvent être tous mis dans le même sac alors as-t-on des caratéristiques qui permettent de les différencier? Je ne parle pas bien sur du QI et de la santé qui devrait probablement être aussi utilisés.
C'est le role de l'état de s'attaquer à une telle tache et si il est déficient les dyslexiques étant donné leur nombre peuvent facilement lever des fonds pour les faire réaliser.
Une fois un plan stratégique établi, les associations pourraient traquer les parents de dyslexiques et les dyslexiques eux-même. Je n'ai été prospecté qu'une seule fois dans ma vie avec un courrier sous forme de tract (sans nom) pour m'inviter à un colloque sur la dyslexie où j'ai apris à 40 ans que je suis handicapé.
J'aimerais que l'on réussise à donner comme exemple aux dyslexiques -en plus des plus illustres d'entre nous - ceux qui ont réussis de manière normale.
Determiner aussi des aménagements ou des organisations spécifiques du travail pour chaque type de métiers incluant le travail intellectuel.
Trouver des plans de carrières qui soit adaptés aux dyslexiques.
Pour cela il faudrait peut-être observer les dyslexiques qui ont réussis et les difficultés des autre au sein de l'entreprise comme à l'école et cela selon le type de dyslexie.
Des statistiques pourraient-elles être réalisées pour essayer de découvrir des solutions? Si elle éxistent déjà, sont-elles disponibles au public?
Si les dyslexiques ne peuvent être tous mis dans le même sac alors as-t-on des caratéristiques qui permettent de les différencier? Je ne parle pas bien sur du QI et de la santé qui devrait probablement être aussi utilisés.
C'est le role de l'état de s'attaquer à une telle tache et si il est déficient les dyslexiques étant donné leur nombre peuvent facilement lever des fonds pour les faire réaliser.
Une fois un plan stratégique établi, les associations pourraient traquer les parents de dyslexiques et les dyslexiques eux-même. Je n'ai été prospecté qu'une seule fois dans ma vie avec un courrier sous forme de tract (sans nom) pour m'inviter à un colloque sur la dyslexie où j'ai apris à 40 ans que je suis handicapé.
J'aimerais que l'on réussise à donner comme exemple aux dyslexiques -en plus des plus illustres d'entre nous - ceux qui ont réussis de manière normale.
dimanche 20 février 2011
Les dyslexiques et le système de sélection scolaire.
Le but de notre système scolaire n'est pas seulement de former la population mais de procéder à une sélection pour extraire les meilleurs, c'est à dire former notre élite. Les places dans les plus grandes écoles sont limitées. Une fois qu'ont été déterminés ceux qui sont capable d'apprendre et de comprendre les conceptes les plus complexes, le sytème scolaire doit encore procéder à une sélection supplémentaire en ne prenant que les plus travailleurs ou ceux qui ont la plus grande vitesse d'apprentissage: en d'autre termes ceux qui ont la meilleur puissance de travail. Ce système permet-il de sélectioner les meilleurs dyslexiques? (population dont je ne fais probablement pas parti puisque le QI qui m'a été communiqué est seulement de 115 donc insufisant pour être considéré comme surdoué et que en plus je n'est pas la meilleur santé). La réponse devrait nous être donnée par des statistiques détaillées concernant les dyslexiques. Si comme je le doute, la sélection des dyslexiques ne se fait pas dans la même proportion que pour le reste de la population, alors pourquoi nous rabache-t-on les oreilles avec les Einstein, Churchill, George Washington et Léonard de Vinci? Et pourquoi nous parlent on de l'égalité des chances?
Adapter le système scolaire?
J'ai entendu que les Anglais ont crée des écoles spéciales pour les dyslexiques. Mais est-il possible de seulement adapter notre système scolaire? Je pense que cette question est d'importance pour non seulement éviter de "guétoiser" les dyslexiques mais aussi du point du vue des économies de moyen et d'argent qui seraient peut-être engendrées.
Par exemple étant donné la lenteur relative de notre apprentissage serait-il bénéfique d'alléger les programmes en supprimant certaine matière non stratégique? Du temps serait ainsi dégagé pour permettre aux dyslexiques de continuer leur formation plus loin. Le trou dans la culture générale pourrait être compensé par des projections occasionnelles de films et la mise à dispositions de livres de sensibilisation. Pour citer encore mon cas personnel je ne pense pas qu'il est été judicieux pour un enfant dyslexique entrant dans la filière scientifique de lui demander d'apprendre l'allemand en première langue puis l'anglais en seconde langue plus du grec puis du latin et enfin d'ajouter des activités extra-scolaire comme l'apprentissage de la musique classique nécessitant 4 heures supplémentaires de cour sans compter les déplacements et la pratique quotidienne.
On pourrait aussi nous donner plus de temps aux examens pour réaliser nos épreuve. Dans mon cas personnel je n'ai jamais pu réussir à terminer une dissertation en temps limité. J'ai pourtant eu 13/20 à l'épreuve de Français. Cette note est-elle représentative de mon niveau? Particulièrement lorsque la rapidité d'exécution est importante?
On pourrait aussi adopter un système de notation moins stricte parce que un effort plus important devrait être récompensé justement (cela éviterais que soit dit aux plus intelligents d'entre nous : "Peux mieux faire" ou "vous ne travaillez pas assez" alors qu'on est en état d'épuisement total).
De plus les dyslexiques pourraient aussi systématiquement participer à des écoles en été (dans leur propre établissement). Je pense personnellement que les vacance d'été sont trop longues même pour les non dyslexiques.
Ces écoles d'été pourraient peut-être permettre aux dyslexiques d'aborder par avance ou de réviser les parties du programme les plus difficiles ou celle qui leur pose le plus de problèmes.
Dans ce cas l'obtention du diplôme devrait mentionner les aménagements qui ont étés fait pour que les décideurs puissent agir en conséquence.
Par exemple étant donné la lenteur relative de notre apprentissage serait-il bénéfique d'alléger les programmes en supprimant certaine matière non stratégique? Du temps serait ainsi dégagé pour permettre aux dyslexiques de continuer leur formation plus loin. Le trou dans la culture générale pourrait être compensé par des projections occasionnelles de films et la mise à dispositions de livres de sensibilisation. Pour citer encore mon cas personnel je ne pense pas qu'il est été judicieux pour un enfant dyslexique entrant dans la filière scientifique de lui demander d'apprendre l'allemand en première langue puis l'anglais en seconde langue plus du grec puis du latin et enfin d'ajouter des activités extra-scolaire comme l'apprentissage de la musique classique nécessitant 4 heures supplémentaires de cour sans compter les déplacements et la pratique quotidienne.
On pourrait aussi nous donner plus de temps aux examens pour réaliser nos épreuve. Dans mon cas personnel je n'ai jamais pu réussir à terminer une dissertation en temps limité. J'ai pourtant eu 13/20 à l'épreuve de Français. Cette note est-elle représentative de mon niveau? Particulièrement lorsque la rapidité d'exécution est importante?
On pourrait aussi adopter un système de notation moins stricte parce que un effort plus important devrait être récompensé justement (cela éviterais que soit dit aux plus intelligents d'entre nous : "Peux mieux faire" ou "vous ne travaillez pas assez" alors qu'on est en état d'épuisement total).
De plus les dyslexiques pourraient aussi systématiquement participer à des écoles en été (dans leur propre établissement). Je pense personnellement que les vacance d'été sont trop longues même pour les non dyslexiques.
Ces écoles d'été pourraient peut-être permettre aux dyslexiques d'aborder par avance ou de réviser les parties du programme les plus difficiles ou celle qui leur pose le plus de problèmes.
Dans ce cas l'obtention du diplôme devrait mentionner les aménagements qui ont étés fait pour que les décideurs puissent agir en conséquence.
Aide toi et le ciel t'aidera.
Je critique beaucoup mais je me dois aussi de proposer des solutions ou des directions qui pourraient nous aider. Biens sur il est probable que je commette des erreurs, mais je prends ce risque et je vous avertis.
Le lobying: Le poids politique de 6,5 millions de personnes en France (auquel il faut ajouter les parents) doit-être utilisé pour faire pression sur nos dirigeants. Les partis politiques doivent-être mis en concurrence. Les membres de chaque faction politiques doivent coopérer pour que au sein de chaque partis le traitement le meilleur possible soit réservé aux dyslexiques. Pour être encore plus clair: un socialiste et un UMP doivent travailler ensemble pour s'assurer que la mise en concurrence des partis aura un effet bénéfique pour les dyslexiques.
La solidarité:Les dyslexiques faisant parti de la communauté des handicapés je pense qu'ils doivent travailler avec les aveugles, les handicapés moteurs ect pour défendre leurs intérêts. Je ne pense pas qu'ils négligeront l'aide potentielle de 6,5 million de personnes.
Une organisation avec des fond conséquents doit gérer une réflexion, des programmes de recherche et un plan stratégique pour défendre nos intérêts. Jusqu'ou notre société peut-elle aller pour nous aider? Un plan d'aide aura-t-il un effet bénéfique pour la société elle même? Si l'on veut "vendre" une solution elle doit aussi être positive pour ceux qui vont payer. Par exemple vu l'importance grandissante du travail intellectuel pour notre compétitivité internationale, ne serait-il pas préférable de permettre aux dyslexiques d'accéder à la connaissance en leur ouvrant l'enseignement supérieur même au prix de quelque concessions de part et d'autre?
Le lobying: Le poids politique de 6,5 millions de personnes en France (auquel il faut ajouter les parents) doit-être utilisé pour faire pression sur nos dirigeants. Les partis politiques doivent-être mis en concurrence. Les membres de chaque faction politiques doivent coopérer pour que au sein de chaque partis le traitement le meilleur possible soit réservé aux dyslexiques. Pour être encore plus clair: un socialiste et un UMP doivent travailler ensemble pour s'assurer que la mise en concurrence des partis aura un effet bénéfique pour les dyslexiques.
La solidarité:Les dyslexiques faisant parti de la communauté des handicapés je pense qu'ils doivent travailler avec les aveugles, les handicapés moteurs ect pour défendre leurs intérêts. Je ne pense pas qu'ils négligeront l'aide potentielle de 6,5 million de personnes.
Une organisation avec des fond conséquents doit gérer une réflexion, des programmes de recherche et un plan stratégique pour défendre nos intérêts. Jusqu'ou notre société peut-elle aller pour nous aider? Un plan d'aide aura-t-il un effet bénéfique pour la société elle même? Si l'on veut "vendre" une solution elle doit aussi être positive pour ceux qui vont payer. Par exemple vu l'importance grandissante du travail intellectuel pour notre compétitivité internationale, ne serait-il pas préférable de permettre aux dyslexiques d'accéder à la connaissance en leur ouvrant l'enseignement supérieur même au prix de quelque concessions de part et d'autre?
jeudi 17 février 2011
Einstein et les dyslexiques
Le problème pour les dyslexiques c'est qu'Einstein est devenu une icone, le symbole de l'intelligence et du savoir dans l'inconscient collectif. De plus le fait qu'il ai appartenu à la collectivité juive victime du mépris et de la Shoah a accentué ce phénomène. J'ai pour lui une immense admiration. Je ne connais pas très bien son dossier et encore moins les théories qu'il a développées, néanmoins mon opinion est qu'il a fait preuve d'un immense mérite ainsi que de très grandes qualités. Le fait est qu'aujourd'hui, une personne qui a fait de la recherche fondamentale à de meilleur chance de paraître probante aux yeux du grand public si elle a une abondante chevelure grisonnante, si elle est étourdie et si elle porte des chaussettes dépareillées. Mais aujourd'hui, en plus de fait qu'il n'est pas prouvé qu'Einstein était dyslexique ont peux se demander s'il représente vraiment l'archétype du chercheur, même au sein de la recherche fondamentale. J'en doute fortement aux vue du cursus des chercheurs qu'il m'a été donné de rencontrer ou d'écouter. Combien de dyslexiques ont pu intégrer la communauté de la recherche fondamentale aujourd'hui? Combien de dyslexiques ont fait à notre époque des découvertes importantes dans la recherche fondamentale? Quelle pourcentage significatif représentent-ils? Finalement, doit-on continuer à donner l'exemple d'Einstein aux dyslexiques et si oui, avec quelles précautions? Si vous avez la réponse je vous prie de la poster dans ce Blog. Merci d'avance.
Lien:Einstein_ Dyslexia
Lien:Einstein_ Dyslexia
Ne pas mentionner la dyslexie sur le curriculum
Aujourd'hui on vient de me conseiller de ne pas écrire que je suis dyslexique sur mon cv. C'est la deuxième personne qui me le conseille. Cela peux se comprendre ainsi: on ne vent pas un produit en mettant en avant ses défauts. La bataille pour l'intégration et la prise en compte du handicap est loin d'être gagnée.
Dyslexie et diplômes
Aujourd'hui on se base de plus en plus sur les diplômes pour décider qu'elle direction donner à une carrière.
Supposons qu'un dyslexique puisse obtenir un diplôme. Les entreprises et organisations vont probablement se baser sur ce diplôme pour décider de l'attribution d'un premier poste ou de l'évolution d'une carrière. Si les dyslexiques ont un handicap comme cela semble être reconnu aujourd'hui, les décideurs ne risquent-ils pas de commettre une erreur d'appréciation s'ils ne prennent pas en compte le handicap?
D'autre part si certains dyslexiques ont des aptitudes particulières, vont-elles être reconnues et même developpées dans le cadre du diplôme? Les décideurs essayeront-ils d'utiliser ses aptitudes particulières et de les enrichir?
Dix pourcent de la population est dyslexique. Cela fait environ 6,5 million de personnes en France. Etant donné leur nombre, les dyslexiques pourraient être l'objet d'une prospection politique intense. Je pense que les diplômes devraient prendre en compte de plus en plus ce handicap et les aptitudes spécifiques éventuelles qui y sont associées.
Supposons qu'un dyslexique puisse obtenir un diplôme. Les entreprises et organisations vont probablement se baser sur ce diplôme pour décider de l'attribution d'un premier poste ou de l'évolution d'une carrière. Si les dyslexiques ont un handicap comme cela semble être reconnu aujourd'hui, les décideurs ne risquent-ils pas de commettre une erreur d'appréciation s'ils ne prennent pas en compte le handicap?
D'autre part si certains dyslexiques ont des aptitudes particulières, vont-elles être reconnues et même developpées dans le cadre du diplôme? Les décideurs essayeront-ils d'utiliser ses aptitudes particulières et de les enrichir?
Dix pourcent de la population est dyslexique. Cela fait environ 6,5 million de personnes en France. Etant donné leur nombre, les dyslexiques pourraient être l'objet d'une prospection politique intense. Je pense que les diplômes devraient prendre en compte de plus en plus ce handicap et les aptitudes spécifiques éventuelles qui y sont associées.
La bataille psychologique
Je me souvient lorsque j'étais enfant, mes parents -dans leur bataille pour m'éviter l'exclusion scolaire- m'ont parlé d'Enstein dyslexique. Je me demande ce qu'il aurait pu faire dans notre système scolaire aujourd'hui. J'aimerais connaître les statistiques concernant les dyslexiques aujourd'hui. Pour cela, il faudrait avoir recensé selon le type et la profondeur du handicap, le dixième de la population qui est dyslexique. Pendant ma scolarité ou mes séances chez l'orthophoniste on ne ma jamais parlé de handicap. Je me souviens de mon père me disant que le cerveau d'Enstein avait été disséqué et qu'aucune anormalité n'avait été trouvée. Aujourd'hui les examens IRM ont permis de trouver des différences de structure dans le cerveau des dyslexiques. Cela prouve au moins une chose: la rigueur scientifique a encore de nombreux problèmes face à la complexité du vivant. Si je demande des statistiques précises, c'est qu'il me semble inapproprié d'évaluer la chance de réussite d'une personne en se basant sur quelque réussites extraordinaires au sein d'une minorité.
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