Déterminer les métiers ou les taches dans les métiers dans lequels l'utilisation des dyslexiques a le plus de chance d'être bénéfique.
Determiner aussi des aménagements ou des organisations spécifiques du travail pour chaque type de métiers incluant le travail intellectuel.
Trouver des plans de carrières qui soit adaptés aux dyslexiques.
Pour cela il faudrait peut-être observer les dyslexiques qui ont réussis et les difficultés des autre au sein de l'entreprise comme à l'école et cela selon le type de dyslexie.
Des statistiques pourraient-elles être réalisées pour essayer de découvrir des solutions? Si elle éxistent déjà, sont-elles disponibles au public?
Si les dyslexiques ne peuvent être tous mis dans le même sac alors as-t-on des caratéristiques qui permettent de les différencier? Je ne parle pas bien sur du QI et de la santé qui devrait probablement être aussi utilisés.
C'est le role de l'état de s'attaquer à une telle tache et si il est déficient les dyslexiques étant donné leur nombre peuvent facilement lever des fonds pour les faire réaliser.
Une fois un plan stratégique établi, les associations pourraient traquer les parents de dyslexiques et les dyslexiques eux-même. Je n'ai été prospecté qu'une seule fois dans ma vie avec un courrier sous forme de tract (sans nom) pour m'inviter à un colloque sur la dyslexie où j'ai apris à 40 ans que je suis handicapé.
J'aimerais que l'on réussise à donner comme exemple aux dyslexiques -en plus des plus illustres d'entre nous - ceux qui ont réussis de manière normale.
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